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Il est émis l’hypothèse selon laquelle l’oppidum des “Ségobriges“, où vivait la tribu des Comans, était situé sur le Mont Rodinaccus (colline de Notre-Dame-du-Château). L’époque Gallo-Romaine ne nous a livré que deux inscriptions funéraires. C’est peu certes, mais en contre-partie, les nombreux vestiges romains découverts par le Comte Gerin-Ricard et plus tard par L.M. Blanc sur le Mont Rodinaccus sont suffisants pour affirmer que notre contrée connaît, sinon un groupement humain important, tout au moins des domaines ruraux.
Le nom de notre commune pourrait dater de cette période. Selon cette hypothèse, le nom “Allauch“ découlerait d’une propriété terrienne appartenant à un Gallo-Romain surnommé “Alaudius“, mot tiré du latin “Alauda“ (alouette). Jusqu’à la fin du Xème siècle, l’histoire d’Allauch est parcourue d’histoires de femmes :
La Montadienne, dont le crâne fut trépané avec réussite, datant de 4 000 ans, retrouvée au lieu-dit la Montade à Plan-de-Cuques (Plan-de-Cuques ne s’érigera en commune distincte qu’en 1937).
La légende de Gyptis.
Les religieuses de Saint-Cassien, dont le monastère était installé à Sainte-Euphémie.
Les “Masco d’Alau”, surnom dont étaient affublées, après la peste de 1720, les paysannes allaudiennes se rendant au marché de Marseille. Elles étaient alors chassées par les Marseillaises, huées aux cris de “hou, hou, les sorcières, les Masco d’Alau”.